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Même le foot passe après l'After Gratuit
Le 20 juin 2021
Pour notre abonné, l'After a réussi l'exploit de rendre son émission plus captivante que le football. Et on ne parle même pas de la Ligue 1.
Même le foot passe après l'After

Fidèle auditeur de l’After depuis quasiment le début, initié par un ami lui aussi fidèle auditeur et passionné de foot, je suis un « afterien » anonyme qui n’a jamais téléphoné… car je podcast quasi exclusivement.

Ai-je dit que je suis passionné de foot ? Non, car je ne crois pas l’être. Pas au sens classique, comme supporter d’un club par exemple, ou abonné de feu téléfoot. En effet, je ne regarde aucun match (ou presque, sauf l’équipe de France quand ça joue bien, donc cela fait presque 15 ans que j’ai arrêté), n’écoute que peu Jeannot ni « TOTF ». Cela dit, je me mange dix à douze heures d’After par semaine, toutes les semaines, même l’été avec l’équipe de l’élégance c’est dire (sans rancune Nico Jamain)…

C’est grave docteur Roland ? Probablement car être capable de citer l’équipe type de Lyon, connaître le budget de Toulouse ou réciter les entraineurs de Nantes : en dehors d’un stade tout cela frise l’inutile… ou pas. L’After est en effet l’arme ultime de l’intégration en entreprise où il y a toujours un fan de foot qui traine. On suit, on rebondit, on fait une passe décisive pour le premier déjeuner. C’est bon les premiers (trois évidemment) points sont marqués, on respire, cette mission dans cette boîte devrait bien se passer.

C’est encore mieux si la mission démarre un lendemain de désillusion pour le PSG, heu pardon de soirée européenne, ou un lendemain d’un jeudi noir (un vendredi entre octobre et janvier quoi) Mais ce n’est pas que cela, c’est aussi pouvoir sortir des « punchlines » en plein plan de licenciement du style « le directeur marketing mangera pas la dinde cette année » ou bien encore « ça sent encore une erreur de Micheline de la compta ». Les vrais savent et...

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