Comme tous les matins, en buvant mon café, je lis mon petit article sur l’After Foot la revue, 4ème du nom, sur le foot & les médias. Tandis que je cherchais l’article sur les consultants, comme on dit chez nous dans le sud, quelle ne fut pas ma surprise : ”Eh beh !!!” Où sontmessieurs Di Méco ou Rothen ? (Vous noterez, que j’ai bien choisi les noms, pour pas que les supporters de l’OM ou du PSG écrivent trop de commentaires négatifs sur mon premier article.)

En effet, après avoir exploré la table des matières, feuilleté rapidement (au moins 5 fois) le contenu du magazine, le constat est sans appel : aucun article n'a été écrit par nos deux consultants. Il y a bien un article sur les consultants anglais mais rien sur ces « fameux » consultants. Alors messieurs Gilbert et Daniel, qu’est-ce qui vous arrive ? Pourquoi ne pas inclure nos consultants ? Avez-vous quelque chose à nous cacher ?

Nous allons essayer d’analyser ce fait de jeu, non validé par la VAR des adeptes de l’After, comme Daniel aurait analysé une victoire étriquée du PSG face à Clermont. Dans un premier temps, il y a les 3 points. Quand on a des consultants qui ont connus Alain Perrin, Vahid, Luis Fernandez ou notre Dédé National, je pense qu'on peut aisément affirmer que l'important sont les 3 points.

Mon premier point serait le suivant : quelles sont les caractéristiques d’un bon consultant ? Mon deuxième : est-ce qu’un journaliste a besoin d’un consultant pour parler de foot ? Mon troisième : qu’est-ce que l’on attend d’un consultant ? (Gilbert, j’ai chronométré, je ne dépasse pas les 9 secondes, du coup je n'aurai sûrement jamais ma place le soir à 22h, entre Daniel ou Kévin, qui n’ont pas...