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Le génie de Mbappé n’a pas pu empêcher la vengeance du jeu Gratuit
Le 20 décembre 2022
Maintenant que les lampions et les drapeaux tricolores sont rangés dans les greniers, il va être possible d'exprimer des opinions moins dithyrambiques suite à la défaite des salariés français du football-business international lors du dernier festival inter-Nations organisé par la FIFA.
Le génie de Mbappé n’a pas pu empêcher la vengeance du jeu

Dans cet intervalle de temps inhabituel et improbable entre automne et hiver, exceptées des louanges, tout propos un tant soit peu critique était passible d'une déchéance de la nationalité.

J'espère qu'à l’approche de la nouvelle année, où une partie de la tradition consiste à oublier le passé pour repartir sur de bonnes bases, il sera dorénavant possible d’être juste satisfait de cette victoire finale argentine sans être définitivement radié des listes électorales ! Rassurez-vous, ma « semi-belgitude biologique » me laisse des ouvertures du côté des Flandres où « Nous » avons toujours été battus, ces derniers temps, par des « équipes moins fortes que Nous », d’après nos calamiteux garnements en culotte courte de sa Majesté Philippe, Roi des Belges !

En effet, je sais « c’est très mal », n'ayant jamais ressenti la moindre ferveur nationaliste ou « clubiste » à l'égard d'une équipe de football-business, j'ai vécu, depuis plus d'une cinquante d'années, le plaisir de ce spectacle original comme un véritable apatride, exclusivement « secoué » par de pures émotions forgées au gré des confrontations entre les « entreprises-clubs » et/ou les « équipes nationales », indépendamment des lieux, des victoires ou des défaites, dans le canapé ou dans les gradins : Saint-Etienne, Lens, Bastia, Marseille, Anderlecht, Kiev, Liverpool, Amsterdam, Leeds, Madrid, Milan, Belgique, Pays-Bas, Italie, France, Argentine, Brésil, Croatie, Angleterre...etc...etc...etc...la liste est considérable.

Que de beaux voyages intérieurs aux émotions à jamais gravées dans la mémoire ! À l’approche des soixante-six ans et au regard des premiers souvenirs encore bien ancrés qui remontent aux années 1966-67, je ne regrette pas un seul instant ce périple un peu long sans aucun papier d’identité ni carte de « supporters ».

Et même si avec le temps, j’ai besoin des revues spécialisées et d’internet pour remettre de la chronologie...

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