Force est de reconnaître que j’ai hésité très longtemps à prendre le temps d’écrire de nouveau quelques modestes pensées relatives à cette Ligue1 française que je suis, au regard de mon âge avancé, depuis tant d’années.
En effet, entre l'énième sauvagerie de voyous, structurés ou pas peu importe, lors de la rencontre OM-OL, les conflits planétaires qui tuent par millions et l’insupportable climat de tensions qui alimente notre quotidien, les affres du football semblent parfois vraiment dérisoires.

Même si écrire est toujours un acte très difficile pour juste tenter de plaire à des lecteurs anonymes (je tiens, à cet égard, à remercier tous ceux qui tiennent à distance des propos élogieux à mon encontre dans les différents commentaires et auxquels je ne peux malheureusement pas répondre pour de sombres problèmes informatiques qui dépassent « mon seuil d’incompétence » en la matière !), c’est aussi un acte thérapeutique avéré.

Dans ces conditions, je me lance, « à l’insu de mon plein gré », dans cette nouvelle contribution en prenant d’assaut, « sans arme, ni haine, ni violence » l’O.G.C. Nice.

Que les supporters, ultras, sympathisants, familiers, salariés de l’O.G.C. Nice, d’hier et d’aujourd’hui, se rassurent, je n’ai strictement aucune animosité contre eux, bien au contraire. Nice n’est, à ce titre, qu’un très agréable lieu de villégiature duquel je me suis un peu rapproché en prenant ma retraite sur les bords de la méditerranée.

J’oserais même ajouter, pour ma défense, que j’ai eu la chance de voir évoluer dans les années 70, jeune adolescent en vacances que j’étais, dans le vieux stade du Ray, des joueurs aussi brillants techniquement que Huck, Jouve, Molitor, Loubet, Van Dijk, Guillou,... pour ne citer que quelques noms particulièrement emblématiques d’un « certain type de football ». Mais revenons à notre « chère » (trop ?) Ligue1....